La communauté CARBON IT possède une force : celle de savoir écouter, discuter, et propager ses bonnes idées. Face au Covid-19, l’équipe a fait preuve d’une adaptabilité assez stupéfiante. Explications.
Ne jamais se fier aux apparences. Si vous voyez un homme faire le ménage dans les locaux de Carbon, il se peut qu’il s’agisse du patron lui-même. Pour comprendre la situation, il faut remonter quelques mois en arrière, en juin. Comme la France et une bonne partie de la planète, la pépinière de talents vient de traverser deux mois de confinement. Toute l’équipe se réunit pour un brainstorming collectif -chacun derrière son écran, Covid oblige. Le déconfinement est enclenché, et le mot d’ordre est clair : à situation inédite, répondre avec des mesures créatives. CARBON IT a le bien-être et la sécurité de ses 75 employés au coeur de ses préoccupations. Pour freiner, tous ensemble, l’épidémie, et réduire au maximum les risques de contracter la maladie, l’un d’entre eux a une idée. Il propose que chaque membre de CARBON IT, dirigeants comme salariés, désinfecte à tour de rôle les locaux. Leur mission : passer pendant 1 heure des lingettes imprégnées de produit désinfectant sur les poignées de portes, les placards de la cuisine, la machine à café, les lavabos, le rétroprojecteur… Traquer sans pitié les surfaces les plus touchées par les mains, qui jouent un rôle majeur dans la transmission du virus. Et renouveler l’opération fréquemment, pour ne laisser aucune chance à “l’ennemi”, le coronavirus SARS-CoV-2. La proposition est aussitôt adoptée à l’unanimité. Pas question de voir cet effort collectif comme une corvée, mais comme un moyen de freiner, tous ensemble, l’épidémie.
Sous haute protection
Pour protéger tous ses collaborateurs du Covid-19, l’entreprise applique bien sûr à la lettre les bonnes pratiques légales. Le port du masque dans l’open-space, le fléchage au sol pour indiquer le sens de circulation, ou la distribution de kits -contenant gel hydroalcoolique, masques, boîte de mouchoirs, lingettes anti-bactériennes- à tous les salariés. Alors que la circulation du virus continue d’augmenter fortement, que la menace d’une deuxième vague à l’automne est redoutée par nombre d’experts, CARBON IT va au-delà des règles obligatoires. Depuis la sortie du confinement, le télétravail, qui a fait ses preuves, continue ainsi d’être plébiscité. Cela permet que toute l’équipe ne soit pas dans les locaux au même moment. Chaque salarié peut ainsi organiser son agenda comme il le souhaite, et travailler deux-trois jours par semaine en home office. Quant aux grandes réunions, elles se font désormais en visioconférence pour éviter de tous se retrouver dans un espace confiné. Face à des problèmes très concrets que les entreprises n’avaient jamais eu à affronter jusqu’à présent, CARBON IT a su rebondir, et même aller au-delà des préconisations officielles. La création d’un climat très sain qui offre à chacun des employés de Carbon une expérience de travail optimale. De quoi se concentrer sur l’essentiel : la rédaction du code.
Boîte à outils
Pragmatisme = “attitude de quelqu’un qui s’adapte à toute situation, qui est orienté vers l’action pratique” (définition du Larousse). Pragmatique, CARBON IT l’est, assurément. Obsédé par la qualité, aussi. Savoir résoudre des problèmes, maîtriser les outils, et être en pointe sur la technologie, autant de missions inscrites dans les gènes de l’entreprise. Un goût assumé pour le travail bien fait, la créativité, et donc, au-delà, l’altruisme. Si le partage d’idées était un art, il pourrait être enseigné chez CARBON IT. Car non contente d’être vertueuse pour freiner la propagation de l’épidémie, l’entreprise prend plaisir à partager ses initiatives. En interne, en sensibilisant au quotidien ses équipes, comme en externe. Ici, chaque salarié prend plaisir à contribuer à l’effort collectif, et à le diffuser au plus grand nombre. Le parallèle avec le monde du développement, où la concurrence entre développeurs n’existe pas, et où le partage via l’Open-Source des connaissances est une religion, est évident. Le secret des entreprises modernes qui savent s’adapter et réagir aux aléas de l’actualité ne se cacherait-il pas dans ce genre de détails ?